La situation est toujours aussi brouillonne. Les parents d’élèves contestent les chiffres de la mairie sur les activités périscolaires.
[Mis à jour le 1er décembre] Encore une fois, Luce est allée chercher son fils à la sortie de l’école à 11h30, comme chaque vendredi ou presque depuis le début de l’année scolaire. « Depuis la rentrée, il a mangé deux vendredis à la cantine. Faute de personnel suffisant, un pique-nique est sorti du sac et mon fils mange sous le préau, avant de participer aux activités qui se limitent depuis le 7 novembre dernier à de la garderie. J’ai lutté vaillamment, mais je ne peux plus résister face à ce système foireux ».
Luce s’est résignée comme beaucoup d’autres parents. Désormais elle fera appel à l’œuvre de Timon David. Un mouvement apostolique qui viendra chercher son fils à l’école le vendredi, moyennant 55 euros d'adhésion à l'année (auxquels s'ajoutent, en fonction du quotient familial, jusqu'à 8 euros par journée et 2 euros pour le déjeuner).
« J’ai lâché l’affaire tout le monde s’en tamponne »
Mercredi dernier dans le cartable de son fils, il y avait un dossier d’inscription des Temps d’activités périscolaires (TAP), auquel elle n’a même pas prêté attention. « En quoi consistent ces ...
Suite de l'article sur la Marseillaise : http://www.lamarseillaise.fr/marseille/education/33710-un-vendredi-comme-les-autres-dans-les-ecoles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire