C'est la deuxième année que la réforme des rythmes scolaires est appliquée partout, mais déjà certaines communes rencontrent de très grosses difficultés pour financer les activités péri-scolaires.
Sur le temps périscolaire, les situations varient d'une commune à l'autre. Certaines villes organisent des activités, d'autres non. Et aujourd'hui, de plus en plus de mairies décident de faire payer ces activités aux parents.
Sur le temps périscolaire, les situations varient d'une commune à l'autre. Certaines villes organisent des activités, d'autres non. Et aujourd'hui, de plus en plus de mairies décident de faire payer ces activités aux parents.
C'est le cas à Pierrefitte sur Seine, en Seine-Saint-Denis, où est allée Sonia Bourhan.
Cette ville compte 12 groupes scolaires, plus de 4000 élèves, 100 de plus chaque année.
Ici, les activités sont concentrées sur un après-midi par semaine pour dégager du temps pour l'école le mercredi matin. Les TAP, temps d'activités périscolaires, sont gratuits.
Mais la commune vient d'annoncer qu'elle ne pouvait plus financer.
A la rentrée prochaine, les parents devront payer comme pour le centre de loisirs, en fonction du quotient familial.
Cette ville compte 12 groupes scolaires, plus de 4000 élèves, 100 de plus chaque année.
Ici, les activités sont concentrées sur un après-midi par semaine pour dégager du temps pour l'école le mercredi matin. Les TAP, temps d'activités périscolaires, sont gratuits.
Mais la commune vient d'annoncer qu'elle ne pouvait plus financer.
A la rentrée prochaine, les parents devront payer comme pour le centre de loisirs, en fonction du quotient familial.
Retrouvez l'émission en podcast et interviews sur France Inter : http://www.franceinter.fr/emission-le-zoom-de-la-redaction-rythmes-scolaires-les-communes-a-la-peine
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