mercredi 2 septembre 2015

Les habituels déboires marseillais de la rentrée scolaire...

La cité phocéenne n’a pas pu éviter de nouveaux cafouillages avec la mise en place, mardi après-midi, des activités périscolaires.

Les cris de joie pour les uns, les pleurs pour les autres, sont devenus des rituels de rentrée. Pour le sénateur-maire (LR) Jean-Claude Gaudin, la rentrée scolaire est une épreuve de force. En choisissant de se rendre dans le nouveau groupe scolaire Michelet-Foch, il espérait faire oublier les déboires de la précédente année scolaire complètement « cafouillée » par les rythmes scolaires. Hier après-midi, le lancement des temps d’activités périscolaires (TAP), qui concerne la moitié des écoles, (la ville a été coupée en deux après-midis, le mardi et le jeudi) allait vite se révéler désastreux par certains endroits
à l’école du Rouet, Christelle a retrouvé son fils au milieu de la cours de récréation. « ça s’est très mal passé pour les inscriptions. Des enfants de maternelle sont revenus à l’école à 13h30, on leur a dit qu’il n’y avait personne pour s’occuper d’eux. Dans l’élémentaire, il n’y avait que 4 animateurs pour s’occuper de plus d’une centaine d’enfants », raconte la mère d’élève.

L’école publique maltraitée

L’association de soutien scolaire, implantée dans le Rhône, a visiblement été prise de court. Les quatre animateurs qui se sont retrouvés seuls à gérer les élèves ont dû improviser et ont heureusement reçu l’aide de la directrice d’école, restée sur place. Les parents d’élèves sont furieux, « ce qui s’est passé est ...

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